Le fondateur de Telegram fait actuellement l'objet d'une enquête des autorités suisses, suite à une plainte criminelle impliquant des abus sur des enfants. Cet événement a suscité une large attention après son arrestation récente en France, et fait également partie d'une série de litiges juridiques, y compris des questions de pension alimentaire pour enfants et de garde.
Le ministère public de Genève n'a initialement pas accepté cette plainte criminelle, en raison du fait que le délai de dépôt de plainte avait dépassé trois mois après le dernier incident de violence présumé. Cependant, en mai 2023, le plaignant a interjeté appel, et le tribunal a décidé en octobre dernier de poursuivre l'affaire. Selon les autorités judiciaires de Genève, l'affaire est actuellement toujours en cours d'enquête. Le plaignant accuse le défendeur d'avoir blessé leur fils de seulement 5 ans à cinq reprises entre 2021 et 2022. Ces incidents auraient causé des blessures au jeune garçon, y compris des commotions cérébrales et des troubles du sommeil. Comme preuve, le plaignant a soumis des échanges de communication entre les deux parties datant de novembre 2021, ainsi qu'un certificat médical d'avril 2023, indiquant que l'enfant présentait des problèmes d'anxiété et de sommeil en raison de violences subies.
Le représentant de la partie défenderesse a refusé de faire des commentaires. L'avocat de la partie plaignante a confirmé les faits concernant l'affaire civile, mais n'a pas souhaité faire de commentaires sur la plainte pénale. En raison des dispositions du droit suisse, l'identité des personnes impliquées dans l'affaire pénale n'a pas été rendue publique. Cependant, plusieurs détails dans l'affaire peuvent confirmer l'identité du défendeur, tels que les années de naissance de ses enfants et le numéro de l'affaire civile concernée.
Il convient de noter qu'auparavant, des rapports avaient indiqué que le défendeur avait obtenu une libération sous caution après avoir été poursuivi en France, mais qu'il lui était interdit de quitter le pays. Cette série d'événements a suscité l'attention et les discussions du public sur la vie personnelle et la responsabilité légale des dirigeants de l'industrie technologique.
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MemeEchoer
· 08-04 05:41
Oh mon dieu, ce melon est-il mûr ?
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AirdropBuffet
· 08-04 03:14
Il y a une taupe
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PessimisticLayer
· 08-03 09:46
Cette affaire est vraiment intéressante.
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TokenTherapist
· 08-02 16:31
Encore une manipulation sale des capitalistes ?
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AlgoAlchemist
· 08-02 16:29
Cette pastèque est vraiment énorme!
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DAOdreamer
· 08-02 16:10
Ah, il y a des gens qui peuvent porter plainte pour ça ?
Le fondateur de Telegram impliqué dans des accusations d'abus sur enfants, les autorités suisses ouvrent une enquête.
Le fondateur de Telegram fait actuellement l'objet d'une enquête des autorités suisses, suite à une plainte criminelle impliquant des abus sur des enfants. Cet événement a suscité une large attention après son arrestation récente en France, et fait également partie d'une série de litiges juridiques, y compris des questions de pension alimentaire pour enfants et de garde.
Le ministère public de Genève n'a initialement pas accepté cette plainte criminelle, en raison du fait que le délai de dépôt de plainte avait dépassé trois mois après le dernier incident de violence présumé. Cependant, en mai 2023, le plaignant a interjeté appel, et le tribunal a décidé en octobre dernier de poursuivre l'affaire. Selon les autorités judiciaires de Genève, l'affaire est actuellement toujours en cours d'enquête. Le plaignant accuse le défendeur d'avoir blessé leur fils de seulement 5 ans à cinq reprises entre 2021 et 2022. Ces incidents auraient causé des blessures au jeune garçon, y compris des commotions cérébrales et des troubles du sommeil. Comme preuve, le plaignant a soumis des échanges de communication entre les deux parties datant de novembre 2021, ainsi qu'un certificat médical d'avril 2023, indiquant que l'enfant présentait des problèmes d'anxiété et de sommeil en raison de violences subies.
Le représentant de la partie défenderesse a refusé de faire des commentaires. L'avocat de la partie plaignante a confirmé les faits concernant l'affaire civile, mais n'a pas souhaité faire de commentaires sur la plainte pénale. En raison des dispositions du droit suisse, l'identité des personnes impliquées dans l'affaire pénale n'a pas été rendue publique. Cependant, plusieurs détails dans l'affaire peuvent confirmer l'identité du défendeur, tels que les années de naissance de ses enfants et le numéro de l'affaire civile concernée.
Il convient de noter qu'auparavant, des rapports avaient indiqué que le défendeur avait obtenu une libération sous caution après avoir été poursuivi en France, mais qu'il lui était interdit de quitter le pays. Cette série d'événements a suscité l'attention et les discussions du public sur la vie personnelle et la responsabilité légale des dirigeants de l'industrie technologique.